Nos émotions peuvent nous faire souffrir
Nos émotions sont comme un phare pour
éclairer nos choix, mais quand elles nous réduisent au silence, quand elles
font souffrir notre coeur, ou nous empêchent de nous réaliser, elles briment
notre liberté et entraînent une mauvaise gestion de soi. Sous le coup de
l’émotion, nous arrêtons souvent de bien respirer, et cela peut perdurer durant
une période d’incertitude. Nos épaules se soulèvent dans une action pour
contrer nos inconforts internes.
Nos émotions orientent nos choix
Nos émotions nous accompagnent de minute
en minute, même quand nous nous sentons au neutre. La plupart du temps, nos
émotions nous éclairent et orientent nos choix, nos décisions, nos paroles, nos gestes, nous permettant de relativiser entre ce qui est plus important et ce
qui l’est moins. Elles nous donnent aussi le goût d’avancer, de nous dépasser
et de vivre.
Le stress s’exprime sur fond de domination et d’intimidation
Les émotions de colère, d’énervement, de
révolte, exacerbent les tempéraments. Le stress de certaines situations
familiales ou de couple, des conditions de travail exigeantes et
dévalorisantes, le surcroît de fatigue deviennent le signe d’un malaise
affectif qui cherche à s’exprimer. Quand la colère est exprimée de manière
instinctive, elle s’exprime sur fond de domination et d’intimidation. Il
est vrai que certaines situations peuvent escalader vers une forme de violence
par défense tout simplement.
Certaines personnes retournent la colère
contre elles-mêmes
L’inverse se produit également : on
retourne la colère contre soi dans un excès de « je ne dois pas être tel
que je suis ». On se réprime dans un effort conscient pour éliminer nos
pensées ou nos désirs inadmissibles, ou on refoule. Et le refoulement des
émotions et des impulsions intolérables dans l’inconscient devient un mécanisme à
double tranchant puisque ces émotions doivent trouver logis, souvent dans les
organes les plus faibles.
Réguler ses émotions s'apprend
Le soi, une construction perfectionnée
Dans le courant de la vie, le soi est une
construction péniblement perfectionnée. À son début, ce cadre vide se remplit
pour en faire une configuration plus mobile avec des transformations toutes en
possibilités. Plus tard, l'individu fixera par convention celles qu'il veut
et/ou celles dont il ne peut plus se défaire, mais en tout temps, avec
les bons outils, sa construction peut être modifiée.
Quiconque désire une
vie harmonieuse avec les autres et surtout avec lui-même doit faire le ménage
dans sa vie, autant dans ses relations qui ne mènent nulle part pour se bâtir
intérieurement pour vivre une vie grandeur nature.
Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.
Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.
Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir pour prendre en charge votre destinée.
Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.
Mon mari a fait trois dépressions mais à chaque fois l’événement qui la précédait était assez important pour que nous cherchions une solution. Comme nous avions deux entreprises à faire rouler et des enfants à charge, c’était important qu’il se remette vite sur pied. Il ne pouvait se permettre d’arrêter trop longtemps, il se poussait et moi je lui mettais aussi de la pression. Le psychiatre donnait les prescriptions à chaque fois que nous le demandions. Ce n’est que maintenant, après avoir lu sur les dépressions que je comprends qu’il aurait eu besoin d’une thérapie. Quand quelqu’un a un cancer, il est obligé d’arrêter…avoir su, nous l’aurions fait. Peut-être aurait-il repris le goût de rire, de bouger! Laura M.
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