La leçon de l’huître
perlière
La leçon de l’huître
perlière
Comment l’huître s’y prend-elle pour fabriquer une perle?
Tout d’abord, c’est un grain de sable qui est tombé dans sa coquille.
Ce grain de sable représente une difficulté pour l’huître; il
l’irrite,
C’est alors qu’elle se met à secréter cette matière spéciale,
Accepter qui l'on est
À 53 ans, Laurent a le goût de travailler activement à son rétablissement.
Il s'investira tout au long de sa démarche pour accepter qui et ce qu'il est.
Le
premier rapport que j’ai avec Laurent est positif. Il a non seulement réussi à
survivre à un passé douloureux, il a été un membre actif de la société et à sa
mesure, il l’est encore par le biais du bénévolat. Sa vie avec ses
histoires d’amour, ses continuelles difficultés dans la jeune vingtaine pour se
sortir de son village natal, sa lutte pour se défaire de la secte dans laquelle
il a été pendant 12 ans, son lien indéfectible à sa fille en dépit de tous les
écueils reliés à son rôle de père, restent dans l’ombre de son cœur fermé. Il a
de la difficulté à se reconnaître, et, quand une personne le fait, il a
tendance à le balayer du revers de la main.
Créer
un pont entre deux humains
Au fil des entrevues, il
devient moins blindé, moins endurci. Il enlève sa casquette quand le sujet lui
semble digne d’attention. C’est un repère important. Sa gestuelle devient plus
ample, il est sur le mode partage davantage qu’à nos débuts d’entrevues. Il a
les yeux brillants quand il est intéressé. Il me parle de Tom Waits, me parle
de son langage musical engagé. J’ai l’impression que c’est lui qui se construit au fur et à mesure qu’il partage. C’est une « rencontre ».
Une quête d'identité suite à un diagnostic
Une quête d'identité suite à un diagnostic
Laurent a décroché à force
d’échecs. Débute alors la transition d’une vie vécue au niveau social et
culturel à une vie plus intérieure. C’est un changement dans l’échelle social.
Il amorce une quête d’identité. C’est la ligne de démarcation entre une vie
réussie et ce qu’il appelle « une petite vie ». Ce passage obligé
bouleverse sa vie. Selon ses dires, la société n’encourage pas du tout cette
étape parfois nécessaire.
Selon
la lettre ouverte rédigée le 29 janvier 2014 par Hélène Fradet, directrice
générale de la Fédération des familles et amis de la personne atteinte de
maladie mentale (FFAPAMM), "Les enjeux sont grands. Aujourd’hui, les
problèmes de santé mentale touchent 20% de la population et affectent 80% des
Québécois qui, un jour ou l’autre, auront à côtoyer un proche atteint de
maladie mentale".
Modifier les conditions de vie
Avec Laurent, laisser une empreinte
« de mon profond respect pour ses capacités intellectuelles et
cognitives », passe beaucoup par la confirmation des différentes facettes
qu’il me montre, et qui peuvent l’édifier. Tout au long des rencontres, je
reviens sur ses façons de faire, son adaptation, sa manière de voir et d’agir
qui souligne son esprit inventif et original en questionnant comment il a fait
pour développer les qualités nécessaires pour altérer et modifier ses
conditions de vie. Comment s’y est-il pris pour surmonter sa peur d’aller à
l’encontre du conformisme existant dans le domaine du bâtiment? Et que dire de
celui de se défaire d’un endoctrinement (secte) auquel peu de personnes
peuvent résister? Il s’agit donc de reconnaître les patterns dans les
perceptions, les croyances et les comportements et d’honorer ce qui ne demande
qu’à s’exprimer.
Réviser ses croyances
Laurent est entravé par des
croyances qui font la promotion du consensus. L’amener à remettre en question
ce schéma, tout en évitant d’entrer trop en confrontation avec lui demande
d’être consciente de ses accès « cognitifs » qui peuvent l’amener à
changer ses constructions consensuelles. En lui présentant des critères
singuliers de ce qu’il conçoit être « le réel » qui peuvent lui être
profitables, de « nouvelles significations » sont susceptibles de
naître dans le contexte relationnel. Cet échange potentiellement productif
dans le sens d’orienter vers une nouvelle vision de lui-même et des autres
vivant ou ayant vécu différents problèmes doit passer par son filtre de
crédibilité.
De nouvelles
possibilités peuvent éclore
Je tente de lui insuffler
des données dont il peut s’inspirer pour apporter des changements à certaines
parties ternes de sa vie. Je crois fermement que c’est en exploitant le
potentiel de croissance de l’individu par le langage des relations que de
nouvelles possibilités peuvent éclore. Laurent est libre d’accepter ou
non ce nouveau discours. L’aspect novateur de ce discours pour le
construire consiste à faire co-exister une signification alternative plausible
pour dénouer une impasse émanant des diverses influences inhérentes à plusieurs
organisations dans notre société.
La perspective de changer
un système de représentations prend pour base la relation entre les termes.
Foucault explique que l’instrument pour la transmission de toute connaissance
est le langage.
Les rapports entre
l'individu et la société
Chercher les liens entre
des manières de réfléchir et la manière dont les personnes transmettent leurs
réflexions aux autres sur différents sujets montre la nature des rapports entre l’individu et la société. Les éléments signifiants, tels le soi et la quête de sens ainsi que le comportement
culturel sont déterminés par la langue que la personne parle. Le signe ou
le symbole n’est donc pas arbitraire.
La
santé mentale, une manière de sauvegarder l’identité
Laurent est dur avec lui-même mais
également avec toute personne qui vit des problèmes de santé mentale. Il dit ne
pas se reconnaître dans les personnes qu’il côtoie en santé mentale. Un jour il
me parle de "la folie" d’un homme ayant revêtu une tenue d’hiver
alors que nous sommes à la mi-octobre. Selon d’autres éléments qu’il m’a
racontés, je me dis que cela représente probablement une des seules véritables
libertés qu’il se donne. Alors qu’il décrit la folie de l’homme auquel il a
référé plus tôt en englobant des descriptions d’autres personnes qu’il fréquente,
je lui soumets un autre regard en lui disant que j’ai lu ce qu’en écrivait
Alexis Nouss, un anthropologue connu. Celui-ci a déjà déclaré « que la
maladie mentale, loin d’être un symptôme d’aliénation, représente une manière
de sauvegarder l’identité».
Plus tard, lors d’un autre entretien, il le reprendra à son compte en s’appropriant les propos de Nouss en parlant de lui-même:
« S’il est vrai que la maladie
mentale, c’est une façon de protéger son identité… ce doit bien être parce
qu’il a fallu le faire ».
Et alors qu’il donne une formation dans un
espace de bénévolat, il me raconte plus tard qu’il en a fait part aux
participants. L'approche narrative lui convient.
La « maladie
mentale » a été un point tournant pour lui : son expérience de la
maladie mentale a miné sa confiance en ses capacités d’être avec autrui. À
mi-temps de sa vie, Laurent a dû quitter pour s’aimer, un travail, des êtres
chers et bien des choses qui étaient sans doute douces à aimer et qu’il a
perdu, ayant été longuement blessé par elles bien avant de les perdre. Les
années ont peu à peu refermé les blessures, mais le corps et le cœur n’y sont
pas pour refaire ses forces vives.
Faire pression aux
« poussées extérieures » via l’ajout d’informations nouvelles
est un acte délicat. Mais introduire de nouvelles informations, de nouvelles
connaissances répond à son modèle cognitif.
La dépression est une remise en question
Pour Laurent qu’une profonde dépression a
terrassé et déstabilisé, c’est une remise en question, c’est une interrogation
sur le sens de la vie et sur ce qui donne sens de même qu’une incursion dans un
mieux être salutaire. On peut sans aucun doute parler de la mésadaptation comme
une source de croissance (Dabrowski, 1982). Même s’il ne se reconnaît pas parmi
d’autres vivant des problèmes de santé mentale, deux événements démontrent
non seulement son ouverture, mais son engagement envers les personnes et
peut-être bien le « moment d’exception » que son « récit de vie » a créé.
« Il serait peut être intéressant de documenter la vie que j’avais
…même si son sens se situe encore dans une zone grise… »
À travers ses actions,
Laurent exprime son besoin d’être avec d’autres, ce qu’il ne reconnaît pas
volontiers.
Les métaphores employées par Laurent :
« À un moment donné, j’avais dit à
mon psychiatre… « Pour moi…dans ma tête à moi, de la manière que je vois
cela, je me suis dit : « Je me suis embarqué sur un bateau qui n’a
plus de gouvernail et qui n’a plus de mât. Il n’a plus rien qui avance,
plus rien qui va nulle part, il n’a plus de raison. Le mât, les voiles,
c’est la passion, c’est l’amour. Le gouvernail, c’est la raison…plus de vent,
plus de vent…plus rien qui le pousse. Puis il est là, un va pas sans
l’autre, ça prend les deux ».
Le psychiatre m’a donné plus de pilules. À
un moment donné, ça fait partie de mes démarches. Ça ne me servait à rien de
voir un psychiatre. À un moment donné, tu passes au travers toute sorte de
réflexions, d’étapes et je me dis que c’est pas en psychiatrie que je vais
trouver de l’aide ».
Laurent est un homme qui a beaucoup
travaillé sur lui. Depuis des années, il s’outille en travaillant bénévolement
sur des tables de concertation en santé mentale. Ayant vécu la
« contention » lors d’une première crise alors qu’il était en
dépression, il reconnaît maintenant le pouvoir pour ce que c’est. Le
spécialiste ne peut que lui donner des médicaments alors que ce que Laurent
cherche à exprimer c’est plutôt son manque de direction depuis qu’il a perdu
son travail, sa famille et tout le reste. Le psychiatre ne répond pas aux
attentes de Laurent, pourtant il détient un pouvoir de savoir. Le
diagnostic de Laurent semble le maintenir en infériorité.
Lorsque je lui demande s’il croit que la réparation des blessures subies est
possible, il répondra en deux parties :
« Mon sentiment, c’est qu’à douze
ans, tu peux pas réapprendre. Pour réapprendre, ça prend de la maturité
nécessaire pour être capable de t’évaluer avec les…tu peux réapprendre, mais
plus tard. T’as plus confiance…à douze ans, tu fonctionnes sur un
programme…t’es programmé. Quelqu’un va essayer de changer ton programme. Dans
le fond, ça vient pas de toi, là. Tandis qu’à un moment donné, si tu entres en
démarche, tu as 40-45 ans. Là, tu te dis, il y a des trucs qui fonctionnent
pas. Dans le fond, ce que tu réussis à faire, tu réussis à le faire sur le plan
cognitif. Tu réussis pas à modifier la personne que tu es. Ce que tu fais,
c’est que tu réussis à l’accepter, à dire : « Elle est comme ça,
cette personne. Moi, je suis comme ça, j’ai des impulsions, comme telles, j’ai
des tendances comme…Là, ce que tu fais, c’est que tu t’adaptes, tu adaptes les
comportements que tu as.
(En admettant que l’on place l’enfant dans
un autre environnement, Laurent commente ainsi) :
La différence, oui, c’est que le changer
d’environnement, ça peut donner des résultats. Dans le sens que, là, tu vas
aller le chercher, ce bonhomme là, sur le plan affectif. Tu vas pas aller le
chercher sur le plan intellectuel. Il va se dire : « Ce
monde-là, y a pas l’air à me vouloir du mal, je vais essayer de faire quelque
chose ». Ça vient pas du tout du jeune. C’est ça la différence ».
Le repli sur soi
occasionne une grande solitude
Laurent raconte les expériences de sa vie
et parle de ses blessures comme si elles étaient extérieures à lui. Il se
compte chanceux d’avoir une intelligence cognitive qui l’a peut être sauvée.
Son regard sur lui-même fait qu’il considère que son ultime faiblesse ne
regarde que lui. Je me dis que c’est un homme avec une grande sensibilité, mais
que le même détachement qu’il utilise pour ne pas souffrir est ce qui l’isole
des autres et occasionne par la même occasion un repli sur soi quand il s’agit
de relations interpersonnelles. Il vit une grande solitude.
Tout en recherchant un
consensus qui vise à le soustraire à un diagnostic qu’il a de la difficulté à
accepter, il veut qu’on le reconnaisse. Mais il demeure inaccessible avec
son langage qui juge facilement et sa manière de voir l’autre. Il a endossé la
définition de « l’étrange » par rapport à la santé mentale. Il
ne se reconnaît pas dans les personnes qu’il côtoie en santé mentale. Tout en
se définissant comme un être plus intelligent que la moyenne, il fait preuve de
soumission à l’endroit de son diagnostic.
On dirait tout le temps qu’il tente de
trouver « les malades ». Dans son modèle de déficience, il se sent facilement désarmé. Il regarde tout le monde et
lui-même à travers cette lentille de ce qui est normal et ce qui ne l’est pas.
« Avec les autres, (en parlant des
frères de sa mère) ..Raymond…est déconnecté lui aussi. À un moment donné, il
vivait sur la pourvoirie de Robert. Mon père est allé à la chasse, il l’a
vu…les cheveux et la barbe jusque là…pareil à un vieux hippy. Il gossait sur un
bout de bois, il est déconnecté….Il est déconnecté, il est renfermé…dans le
bois. C’est du monde qui sont pas adaptés dans les termes qu’on entend. C’est
du monde de bois. S’ils vont dans le bois, c’est parce qu’ils ont de la
misère…vont pas chercher à fonder des familles. Je suis pas tout à fait
sûr…peut être que sur le plan affectif, ils ont pas développé des
habiletés. Moi-même, j’ai pas développé d’habiletés beaucoup. J’ai fait
un travail pour arriver où c’est que je suis…j’ai bien l’impression que de toute
façon…sur le plan affectif, c’est plus difficile de développer des aptitudes
que sur le plan cognitif. À un moment donné, c’est comme…C’est creux ».
« Sur le plan cognitif, tu peux
t’organiser d’une façon…c’est plus rentable, d’une manière. Sur le plan
affectif, …tu peux adopter de nouveaux comportements, des raisons pour les
adopter, mais sur le plan affectif, c’est comme…je le sais pas. Une personne
qui garde ses sentiments par en dedans…elle peut dire qu’elle va essayer
d’en parler, mais ça ne change pas les sentiments. Il faut comprendre aussi que
les émotions là, il peut y avoir certains avantages à les partager, mais c’est
pas toujours le cas ».
L’acteur n’est jamais
dissocié du groupe social auquel il appartient. En me parlant de son
milieu, de sa ville natale et de sa difficulté à en sortir, il évoquera pour la
première fois le petit garçon qu’il a été dans l’enfance et qui ne s’est pas senti
reconnu par ses parents quoique ceux-ci reconnaissent les enfants des autres.
« Comme par exemple, une fois, je me
rappelle…ça fait pas si longtemps que …ma mère, elle voit son médecin.
Elle dit à son médecin qu’elle a quatre gars. Fac, là, son médecin lui
dit « Vous devez être grand-mère pas mal de fois ».Elle dit :
« Non », elle dit : « J’ai juste une petite
fille ». « Comment ça se fait? Qu’est-ce qu’ils font vos
gars? » « Ils devraient avoir des enfants. Les gars, là, sont pas en
shape pour faire des grosses familles, tu sais. Ils en arrachent avec
eux-mêmes ».
Un tel travail se fait suite à une analyse
de la situation, de soi et de son expérience au regard des perceptions d’autrui
en la personne du médecin et de sa mère. À l’issue de cette prise de
conscience, Laurent amènera tout de même une distinction importante visant la
réconciliation avec ce dur passé.
Il y en a qui sont battus, il y en a qui
sont maltraités. Personnellement, je n’ai pas été maltraité physiquement.
J’en ai connu qui ont été maltraité physiquement ».
Cité de « Coupé
de soi, coupé des autres : comprendre autrement », Lorraine Loranger,
2008 (ISBN : 978-2-981037-329)
« Avec les autres, (en parlant des frères de sa mère) ..Raymond…est déconnecté lui aussi. À un moment donné, il vivait sur la pourvoirie de Robert. Mon père est allé à la chasse, il l’a vu…les cheveux et la barbe jusque là…pareil à un vieux hippy. Il gossait sur un bout de bois, il est déconnecté….Il est déconnecté, il est renfermé…dans le bois. C’est du monde qui sont pas adaptés dans les termes qu’on entend. C’est du monde de bois. S’ils vont dans le bois, c’est parce qu’ils ont de la misère…vont pas chercher à fonder des familles. Je suis pas tout à fait sûr…peut être que sur le plan affectif, ils ont pas développé des habiletés. Moi-même, j’ai pas développé d’habiletés beaucoup. J’ai fait un travail pour arriver où c’est que je suis…j’ai bien l’impression que de toute façon…sur le plan affectif, c’est plus difficile de développer des aptitudes que sur le plan cognitif. À un moment donné, c’est comme…C’est creux ».
« Sur le plan cognitif, tu peux t’organiser d’une façon…c’est plus rentable, d’une manière. Sur le plan affectif, …tu peux adopter de nouveaux comportements, des raisons pour les adopter, mais sur le plan affectif, c’est comme…je le sais pas. Une personne qui garde ses sentiments par en dedans…elle peut dire qu’elle va essayer d’en parler, mais ça ne change pas les sentiments. Il faut comprendre aussi que les émotions là, il peut y avoir certains avantages à les partager, mais c’est pas toujours le cas ».
L’acteur n’est jamais dissocié du groupe social auquel il appartient. En me parlant de son milieu, de sa ville natale et de sa difficulté à en sortir, il évoquera pour la première fois le petit garçon qu’il a été dans l’enfance et qui ne s’est pas senti reconnu par ses parents quoique ceux-ci reconnaissent les enfants des autres.
« Comme par exemple, une fois, je me rappelle…ça fait pas si longtemps que …ma mère, elle voit son médecin. Elle dit à son médecin qu’elle a quatre gars. Fac, là, son médecin lui dit « Vous devez être grand-mère pas mal de fois ».Elle dit : « Non », elle dit : « J’ai juste une petite fille ». « Comment ça se fait? Qu’est-ce qu’ils font vos gars? » « Ils devraient avoir des enfants. Les gars, là, sont pas en shape pour faire des grosses familles, tu sais. Ils en arrachent avec eux-mêmes ».
Un tel travail se fait suite à une analyse de la situation, de soi et de son expérience au regard des perceptions d’autrui en la personne du médecin et de sa mère. À l’issue de cette prise de conscience, Laurent amènera tout de même une distinction importante visant la réconciliation avec ce dur passé.
Il y en a qui sont battus, il y en a qui sont maltraités. Personnellement, je n’ai pas été maltraité physiquement. J’en ai connu qui ont été maltraité physiquement ».
Cité de « Coupé de soi, coupé des autres : comprendre autrement », Lorraine Loranger, 2008 (ISBN : 978-2-981037-329)
Message de Lorraine
Loranger
Dans une
société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent
mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers
pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication
non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes
différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion
de stress sont
disponibles sur demande.
Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.
Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir pour prendre en charge votre destinée.
Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.
Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.
Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir pour prendre en charge votre destinée.
Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.
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