De l'ombre à la lumière: la guérison par un récit de vie émotionnel
Dans mon premier livre: De l'ombre à la lumière: la guérison par un récit de vie émotionnel (ISNN: 978-2-981037-305), plusieurs personnes témoignent avoir retrouvé la paix du coeur et de l'esprit, d'autres démontrent qu'elles ont recouvré la santé psychique et physique, et enfin d'autres se donnent la vie qu'elles veulent après avoir entamé ce grand nettoyage de leur vie et de leur passé pour retrouver l'espoir.
Tout le monde veut une vie grandeur nature
Tout le monde veut une vie grandeur nature
Il est vrai que, quand on y songe, on ne pense pas faire le ménage de notre vie pour obtenir ce que l'on veut. On pense plutôt à la façon de la gagner, cette vie. On pense à ce qu'on pourrait mettre dedans, et non pas à ce qu'on devrait enlever pour parvenir d'abord à la paix du coeur et de l'esprit pour retrouver ses rêves et ses goûts.
La vie comme un boulet
Je donne une image: le passé agit sur les gens comme un boulet qu'ils traînent et arrivés à la porte des POSSIBLES, voilà que le boulet s'accroche à leur insu et qu'il est impossible de dépasser le cadre pour réaliser leurs rêves.
Quand les plaies du passé sont nettoyées et guéries, cela augmente de beaucoup la facilité de voir et d'agir grand.
Recouvrer la santé physique et psychique
Recouvrer l'équilibre psychique et physique n'est pas rien. Pour certaines personnes, c'est le summum de l'accomplissement, de bien dormir, de digérer les aliments qu'elles consomment, de retrouver une vie "normale" et d'avoir le goût de vivre à n'importe quelle âge parce qu'on se sent vivant et que l'on vit bien avec les stress ordinaires de la vie.
Témoignage:
Sandra écrit:
De mai 1990 à mai 1996, je fais un BAC. En avril 1998, je me sépare de mon conjoint pour ensuite le divorcer.
En mars 1999, j'ai un 2e conjoint avec qui nous aménageons en juin 2000. Nous sommes 6 au total, 2 parents et 4 enfants.
En septembre 2000, on diagnose une dépression majeure et je dois arrêter de travailler. On me prescrit des anti-dépresseurs à très forte dose. Cela ne fonctionne pas, alors, on m'ajoute un anti-maniaque en me disant que ce médicament fera augmenter l'efficacité de mes anti-dépresseurs. On me certifie que ce sera sûrement efficace dans mon cas, car ma mère prend les mêmes pour son trouble de maniaco-dépression.
Durant un an, je n'arrive plus à prendre soin de moi, ni de ma nouvelle grande famille, ni de mon conjoint, ni de ma maison. À plusieurs reprises, il m'est arrivé de croire que seule la mort m'aiderait à mieux dépasser tous mes problèmes.
En septembre 2001, je dois retourner au travail avec la peur de faire des erreurs importantes. Je suis infirmière. Je vis une incapacité de m'exprimer avec mes paires. J'ai de la difficulté à débattre mes opinions. Je me sens tiraillée dans mes valeurs les plus profondes. Je tremble à la simple idée de rencontrer mes supérieurs. Mon coeur bat la chamade chaque fois qu'un patient sort de mon bureau. Arrivée à la maison, je n'ai même pas l'énergie de crier après mes enfants et mon conjoint pour avoir de l'aide.
À la fin de 2002, je me sépare de nouveau. Durant les prochains six mois, je garde espoir de rétablir ce couple. Le pire, c'est que je sens ma famille d'origine s'éloigner de plus en plus. Il n'y a bientôt aucune possibilité d'avoir une relation enrichissante avec eux.
Heureusement, je finis par rencontrer Lorraine et lui parle toutes les semaines pendant 7 mois.
Je me retrouve, aujourd'hui, à ma grande surprise, à me demander comment, en si peu de temps, on peut changer au point de ne plus voir le passé comme le cauchemar qu'il a été. Pourtant, je n'ai rien oublié.
J'ai plein de choses à faire: j'ai le goût de les faire, de mordre dans la vie à pleine dents. J'aime mon travail, même que je développe de nouveaux projets à l'intérieur de mon travail régulier. Je n'ai plus peur de personne. Je suis capable de livrer mes opinions et de les assumer. À la maison, je suis plus heureuse que jamais. J'aime profiter de mes temps libre pour jouer avec mes enfants que j'adore. Il m'arrive même de me dire: "OK, on fait 10 minutes de ménage, le reste attendra demain. Enfin, je vis pour moi-même, pour mes enfants, pour notre bien-être et notre santé.
J'ai gardé un double de cette lettre et j'ai la ferme intention de la lire et relire à chaque fois que la vie tentera de glisser sous mes pieds. Je sais qu'avec toi et la thérapie du tunnel, je peux déplacer des montagnes, au besoin.
Depuis l'automne 2003, je ne prends plus de médicaments (Lorraine n'a rien à faire avec ça) N'allez pas croire qu'ils ne m'ont pas aidé, bien au contraire. Seulement que maintenant, je ne dépends plus sur eux pour être heureuse.
Vous vous souvenez de la relation difficile que j'avais avec mes frères et mes parents. Tout n'est malheureusement pas réglé, mais on SE PARLE, ce que nous ne faisions pas avant. Pour la première fois depuis longtemps, ma mère a accepté que je paye le resto pour elle et mon père. Ça n'a pas été facile mais ils se sont finalement laissé gâter.
Mon frère m'a offert de voir le spectacle de fin d'année de sa fille. J'accepte en lui demandant trois billets. Lui de me dire: "Es-tu sûre qu'ils vont être capables de rester assis 5 minutes?" Je l'ai envoyé promener, quelques minutes plus tard, il s'excuse. Nous voyons le spectacle, les enfants ont bien fait ça.
Aucun mot n'est assez grand pour exprimer ma gratitude envers moi, toi et le travail que nous avons fait ensemble. Je sais que tu seras toujours là, si j'ai besoin de me ressourcer.
Témoignage:
Sandra écrit:
Lorsque
j’ai rencontré Lorraine la première fois, j’étais en tension. Je souffrais de
ne pas être comprise. J’avais l’impression de ne pas être assez aimée. Je
voulais de la considération. J’aspirais à un meilleur mieux-être et à une
meilleure énergie. Pour ce faire, j’ai eu besoin de deux thérapies à
différentes périodes.
La
thérapie du tunnel m’a permis de mieux comprendre ma dynamique personnelle.
Aujourd’hui, j’ai l’impression que les morceaux de mon casse-tête sont mis en
place. Le pourquoi du pourquoi de ce manque d’amour et du rejet s’explique. Si
j’avais su, est-ce que cela aurait changé le cours de ma vie? Est-ce que
j’aurais été une meilleure personne? Je pense que oui.
Aujourd’hui,
je me sens intérieurement plus solide, plus en confiance. Je m’affirme et
m’assume davantage. Même si dans certaines circonstances, je reste fragile. Je
sais reconnaître ce sentiment de vouloir avoir la place, d’être la
« best », de vouloir à tout prix la reconnaissance de mes pairs. La
différence c’est que je peux maintenant l’expliquer. Quelle libération, car je
sais comment cela me gruge en-dedans.
Ça
ne fait pas de moi une personne différente. Ça fait de moi une personne plus
calme intérieurement et moins stressée. J’ai une meilleure confiance en moi et
j’identifie davantage mes peurs. De plus, j’ai appris à régler mes conflits en
communiquant. Je sais maintenant l’importance d’expliquer les choses et de
discuter malgré le risque d’être blessée. C’est certain, si le besoin se
faisait sentir, je n’hésiterais pas à retourner voir Lorraine.
Témoignage:
Laura écrit:
Ma
première étape fut l’expérience d'une approche verbale, qui me fit prendre
conscience de plusieurs difficultés dans ma vie. Cette approche m'a vraiment
permis de réaliser combien il m'était pénible de rester présente à ma propre
réalité de vie.
Je
me suis rendue compte de " ma façon de fuir " à travers la maladie.
Je me mettais à chercher beaucoup avec ma tête une ou des réponses à mon
inconfort et à ma douleur. Je souffrais dans mon corps et je cherchais la cause
dans mon mental. Parfois, il m'était impossible de trouver ce qui n'allait pas
en moi. Alors, par la prise de médicaments je me réfugiais dans " ça
" pour ignorer et engourdir mes symptômes. Je demeurais avec mes petits,
moyens et gros " bobos " à travers mon corps sans jamais être en lien
avec les causes réelles de mon désordre émotionnel et corporel. Il m'était plus
facile de faire taire ma douleur physique temporairement en utilisant des
substances pour me soulager.
Une
approche uniquement verbale ne m'a jamais libéré de mes tensions, angoisses,
obsessions, peurs, crises d'anxiété etc... Toutefois, je continuais à faire de
l'insomnie. J'avais établi certains liens avec mes émotions, mais le constat de
nombreux symptômes me plongea dans le sentiment profond que mes propres
douleurs physiques me parlaient. J'éprouvais un immense besoin de connaître les
causes primaires de mes douleurs physiques et c'est pour cette raison qu'il m'a
fallu passer à la deuxième étape du processus...l'approche psycho-corporelle en
thérapie du tunnel.
J'ai
découvert que mon corps pouvait devenir un allié et un magnifique instrument de
travail. A travers lui, j'ai exploré mes blocages émotionnels dans ma structure
corporelle. Peu à peu, cela m'a fait sentir plus unifiée et beaucoup moins
souffrante. Je n’avais jamais senti mes propres frontières, ce fut une belle
découverte.
Bonjour Lorraine,
C'est avec un très grand sourire qu'aujourd'hui, je vous écris ceci.
Aujourd'hui, c'est jour de fête pour moi, puisque j'ai passé avec très grande distinction, le test de la fin de ma thérapie. (Vous comprendrez par le reste de la lettre où elle veut en venir) J'ai enfin réussis à retrouver tous mes trésors intérieurs et à les utiliser de façon optimal pour jouir au maximum de la vie.
Si je vous disais qu'en 1993, je me marie, qu'en 1994, j'ai une jolie petite fille, qu'en 1995, j'accouche d'un adorable petit garçon. Deux enfants en 18 mois, c'est un peu rapide pour un couple.
De mai 1990 à mai 1996, je fais un BAC. En avril 1998, je me sépare de mon conjoint pour ensuite le divorcer.
En mars 1999, j'ai un 2e conjoint avec qui nous aménageons en juin 2000. Nous sommes 6 au total, 2 parents et 4 enfants.
En septembre 2000, on diagnose une dépression majeure et je dois arrêter de travailler. On me prescrit des anti-dépresseurs à très forte dose. Cela ne fonctionne pas, alors, on m'ajoute un anti-maniaque en me disant que ce médicament fera augmenter l'efficacité de mes anti-dépresseurs. On me certifie que ce sera sûrement efficace dans mon cas, car ma mère prend les mêmes pour son trouble de maniaco-dépression.
Durant un an, je n'arrive plus à prendre soin de moi, ni de ma nouvelle grande famille, ni de mon conjoint, ni de ma maison. À plusieurs reprises, il m'est arrivé de croire que seule la mort m'aiderait à mieux dépasser tous mes problèmes.
En septembre 2001, je dois retourner au travail avec la peur de faire des erreurs importantes. Je suis infirmière. Je vis une incapacité de m'exprimer avec mes paires. J'ai de la difficulté à débattre mes opinions. Je me sens tiraillée dans mes valeurs les plus profondes. Je tremble à la simple idée de rencontrer mes supérieurs. Mon coeur bat la chamade chaque fois qu'un patient sort de mon bureau. Arrivée à la maison, je n'ai même pas l'énergie de crier après mes enfants et mon conjoint pour avoir de l'aide.
À la fin de 2002, je me sépare de nouveau. Durant les prochains six mois, je garde espoir de rétablir ce couple. Le pire, c'est que je sens ma famille d'origine s'éloigner de plus en plus. Il n'y a bientôt aucune possibilité d'avoir une relation enrichissante avec eux.
Heureusement, je finis par rencontrer Lorraine et lui parle toutes les semaines pendant 7 mois.
Je me retrouve, aujourd'hui, à ma grande surprise, à me demander comment, en si peu de temps, on peut changer au point de ne plus voir le passé comme le cauchemar qu'il a été. Pourtant, je n'ai rien oublié.
J'ai plein de choses à faire: j'ai le goût de les faire, de mordre dans la vie à pleine dents. J'aime mon travail, même que je développe de nouveaux projets à l'intérieur de mon travail régulier. Je n'ai plus peur de personne. Je suis capable de livrer mes opinions et de les assumer. À la maison, je suis plus heureuse que jamais. J'aime profiter de mes temps libre pour jouer avec mes enfants que j'adore. Il m'arrive même de me dire: "OK, on fait 10 minutes de ménage, le reste attendra demain. Enfin, je vis pour moi-même, pour mes enfants, pour notre bien-être et notre santé.
J'ai gardé un double de cette lettre et j'ai la ferme intention de la lire et relire à chaque fois que la vie tentera de glisser sous mes pieds. Je sais qu'avec toi et la thérapie du tunnel, je peux déplacer des montagnes, au besoin.
Depuis l'automne 2003, je ne prends plus de médicaments (Lorraine n'a rien à faire avec ça) N'allez pas croire qu'ils ne m'ont pas aidé, bien au contraire. Seulement que maintenant, je ne dépends plus sur eux pour être heureuse.
Vous vous souvenez de la relation difficile que j'avais avec mes frères et mes parents. Tout n'est malheureusement pas réglé, mais on SE PARLE, ce que nous ne faisions pas avant. Pour la première fois depuis longtemps, ma mère a accepté que je paye le resto pour elle et mon père. Ça n'a pas été facile mais ils se sont finalement laissé gâter.
Mon frère m'a offert de voir le spectacle de fin d'année de sa fille. J'accepte en lui demandant trois billets. Lui de me dire: "Es-tu sûre qu'ils vont être capables de rester assis 5 minutes?" Je l'ai envoyé promener, quelques minutes plus tard, il s'excuse. Nous voyons le spectacle, les enfants ont bien fait ça.
Aucun mot n'est assez grand pour exprimer ma gratitude envers moi, toi et le travail que nous avons fait ensemble. Je sais que tu seras toujours là, si j'ai besoin de me ressourcer.
Amicalement, merci, et à la prochaine pour un avenir meilleur.
Pauline
Choisir le long-terme
On fait toujours des choix, soit pour le long-terme, soit pour le court-terme. Le court-terme soulage, ne guérit pas
Lire: La différence entre se soigner et guérir en juillet 2012
La proposition de faire le ménage de notre vie est de l'ordre du long terme pour se procurer une vie pleine de saveurs, de joies et d'espoir.
Lire: La différence entre se soigner et guérir en juillet 2012
La proposition de faire le ménage de notre vie est de l'ordre du long terme pour se procurer une vie pleine de saveurs, de joies et d'espoir.
Faire le grand ménage de sa vie
Faire le grand ménage dans ses armoires s'impose régulièrement. En faire un dans nos vies est d'autant plus nécessaire que ne pas le faire, brime la vie devant soi. Vous voulez alimenter votre vie: faites le ménage des émotions.
Se décharger de vieilles émotions
Le récit de vie émotionnel permet une remise à neuf du système émotionnel. Se décharger de vieilles émotions ramène à la vie d'aujourd'hui, les éléments qui procurent la joie et la légèreté.
Pourquoi faire un grand ménage intérieur avec un récit de vie émotionnel?
Pour avoir la paix du coeur et de l'esprit
-en témoignant du mal subi;
-en laissant aller les ressentiments;
-en sortant de l'enfermement dans lequel on est;
-en déliant les relations avec autrui pour pardonner véritablement;
Pour retrouver la santé psychique
-en guérissant du malheur;
-en libérant les culpabilités et les hontes;
-en faisant le ménage dans ses vieilles émotions;
-en révisant ses décisions;
-en trouvant un sens au malheur vécu.
Pour retrouver la santé physique
-en retrouvant le sommeil réparateur;
-en améliorant sa digestion;
-en retrouvant un rythme de vie normal et convenable;
-en retrouvant des forces physiques et mentales;
-en retrouvant un intérêt à bouger, à agir et à participer activement
à la vie.
Pour se donner la vie que l'on veut
-en retrouvant le goût pour des activités normales;
-en retrouvant sa volonté;
-en recommençant à rêver;
-en allant de l'avant;
-en retrouvant la joie de vivre;
-en retrouvant le contrôle de soi, de son environnement;
-en retrouvant énergie et espoir.
Faire ce grand ménage grâce au récit de vie émotionnel, c'est travailler pour le long-terme, non le court terme.
Une remise à neuf du système émotionnel rend la vie tellement plus savoureuse et éclatante.
Aller de l'avant sans le passé qui tire vers le bas ou vers l'arrière rend la vie tellement plus légère.
Vivre sa vie après un récit de vie émotionnel est un cadeau pour devenir auteur de sa vie.
Le récit de vie émotionnel combiné à la thérapie du tunnel traite:
-la dépression;
-l'insomnie;
-les problèmes d'alimentation;
-l'angoisse, l'anxiété, les phobies;
-l'agressivité, la soumission, la mésestime de soi;
-la honte, les culpabilités;
-l'épuisement lié au surmenage;
-les problèmes liés aux relations malsaines;
-les scénarios de vie négatifs.
La durée d'une telle thérapie est signalée par la sortie du tunnel, mais on sait dès le premier rendez-vous si c'est la bonne méthode pour retrouver la santé.
Le "tunnel" est une métaphore pour ce qu'il y a à liquider et à intégrer dans le récit de vie émotionnel.
Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.
Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.
Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir pour prendre en charge votre destinée.
Merci
de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en soumettant cet article
à vos contacts.
J'ai pris plusieurs minutes à lire ce texte car la personne qui témoigne me ressemble: vivre à 100 miles à l'heure, mais peu de temps de qualité avec moi-même et les autres. Je suis en "burn-out" en permanence. Je coure après ma queue. Puis-je vous en parler directement? Louise-Anne A.
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