mardi 26 mars 2013

L'intégration en thérapie du tunnel, un outil de changement! Témoignages

Tant de gens sont limités dans leur vie par leurs circonstances
Les complexes, les refoulements, l'agressivité, la recherche de multiples compensations, le manque d'estime sont autant de forces qui maintiennent les personnes dans leurs misères et qui minent la santé. Tapies dans l'ombre, ces fauteurs de névroses et de maladies maintiennent la vie des personnes sous coupe et les empêchent de se développer et d'explorer tout leur potentiel.

Les applications de la thérapie du tunnel sont innombrables
Les applications de la thérapie du tunnel sont innombrables non seulement pour les adultes en dépression, mais pour la prévention et le traitement de diverses névroses, de stress et malaises physiques et psychosomatiques. La thérapie du tunnel est, enfin et surtout, un outil formidable de connaissance de soi. Son  terrain privilégié est l’individu en rupture avec lui-même. 

La plupart des gens gardent en eux des éléments qui les tirent vers la dépression. Dès que la thérapie débute, ces différentes façons avec lesquels il est devenu étranger à lui-même, se manifestent pour qu'il s'en dégage.

La mémoire affective
Un concept fondamental en thérapie du tunnel est celui de la mémoire affective. Ce processus inné influence tout le fonctionnement mental de l’individu à son insu, qu’il soit normal ou anormal. Son rôle, associé à l’inscription de tous les événements perturbateurs, peut ressembler à la touche « enter » sur le clavier d’ordinateur pour le déroulement d’un film où sont enregistrées autant les images, que les pensées et les sensations qui y sont agrégées.

L'interprétation du vécu comme vérité subjective
L’identité d’une personne est façonnée essentiellement par ce qu’elle a vécu et même ce qu’elle croit avoir vécu, donc, son interprétation. Cette vérité subjective révèle autant les illusions et les souvenirs que les mémoires fabriquées. 

La relecture donne de nouveaux éclairages
Rappelons qu’il s’agit de la mémoire subjective. Les faits, tels qu’ils sont, demeurent, mais à leur relecture, des changements dans la vie de l’individu ou de nouveaux éclairages cognitifs peuvent modifier ce qu’il en retient. Le regard posé sur un événement peut s’en trouver enrichi ou appauvri pour lui donner une nouvelle dimension. 

Changer pour exister autrement demain
Le changement et l’atteinte d’objectifs sérieux ne se font pas sans un engagement ferme, mais quand le terrain est finalement nettoyé, on a beaucoup d'obstacles pour le mettre de l'avant. L'engagement et la réussite du changement fait la promotion d'une confiance retrouvée, redonne du sens à l'individu en rendant accessible ses ressources naturelles qui sont les clés du succès pour un changement durable.

Sortir du chaos intérieur
En thérapie du tunnel on recherche ce qui a déclenché le symptôme. Si on arrive à le relier à un événement, le client l'intègre à sa personnalité et il se libère non seulement du symptôme mais aussi des émotions enfouies. La sortie du chaos intérieur qu’induisent souvent des émotions longtemps retenues est dégagée et libérée ». 

L'estime de soi commence avec l'acceptation de soi
Apprendre à s'apprécier tels que nous sommes, connaître ses goûts, ses besoins, ses capacités et ses limites augmentent l'estime de soi. Comme le petit de l'humain est un être social, sa perception de lui-même se forge dès l'enfance au contact des autres: ses parents, ses amis  et la manière dont ils agiront avec lui auront une influence directe sur sa perception de lui-même et son estime de soi. Son sentiment d'avoir une valeur se développe davantage à l'adolescence. Rendu à l'âge adulte, l'addition de ses succès et de son environnement de travail, en famille, joueront un rôle important dans son estime de soi. 

Travailler sur soi et non sur l'autre
Le changement intervient seulement quand on commence à travailler sur le "soi" plutôt que de garder le focus sur l'autre et de réagir à l'autre.

La démarche de la thérapie du tunnel est plus rapide
La démarche de la thérapie du tunnel comme méthode de « récit de vie » est comme nulle autre. Plus accélérée que toute autre forme de « récit de vie », parce que les mécanismes de défense ont moins l’option de se mettre en place que dans une thérapie verbale conventionnelle. Le trajet en thérapie du tunnel permet de comprendre pourquoi l’individu a enfoui ses souffrances si loin que possible. Nous dirons que les événements ont été occultés par de fausses sécurités inconscientes. L’espace libéré par le nettoyage peut maintenant faire une place à une « nourriture » de choix pour retrouver une motivation et des repères mieux adaptés à ses besoins contemporains.  

Cité « De l’ombre à la lumière : la guérison par le récit de vie émotionnel » P. 120 et P. 139

La maturation de l'individu est souhaitable
La forme d’intelligence qui se développe à travers les différentes intégrations est une forme de maturation. La maturation ne peut s’effectuer que si les conditions optimales sont favorables: après le grand nettoyage de la thérapie du tunnel, les fonctions nerveuses peuvent mûrir et atteindre le perfectionnement prévu. En voici des exemples:

Jacquie écrit:
« Même quand je ne voulais pas, je me mettais dans le coin. À force de dire oui à tout, je finissais par démontrer que j’étais incapable de m’affirmer; dans mes relations professionnelles, je faisais abuser de moi fréquemment parce que je voulais être aimée, appréciée et reconnue. Je me pliais en quatre pour plaire et pour ne pas déplaire. Maintenant, je tente d’être pleinement moi-même, en préférant l’évolution au statu quo. M’affirmer, aller vers ce qui est moins raisonnable à faire, voilà ce qui me porte au changement. Ce chemin que j’ai choisi en toute connaissance de cause me demande d’assumer certains risques. Le défi de me dégager de mon faux moi, je l’ai relevé grâce au travail fait en thérapie ».

Roxanne écrit:
En 2002, je me suis faite un gros cadeau.

J'ai dû prendre mon chèque d'impôt pour faire la thérapie du tunnel, mais, je me suis dit que si je continuais comme ça allait déjà, le temps viendrait où je serais tellement malade que je ne pourrais plus faire qu‘une  démarche médicale. Je ne voulais pas en arriver là!

En prenant rendez-vous, j'ai failli flancher. Il me faudrait tout dire et je suis une personne assez secrète. Tout un défi!

J'avais bien sûr tout lu sur mes problèmes, j'en connaissais probablement plus que bien des médecins, même ceux qui me traitaient. Je leur suis quand même reconnaissante: sans eux, ma vie aurait été un enfer, mais en dedans de moi, je savais que ce n'était pas la solution.

Ça m'a pris une année complète, une fois semaine, mais quel résultat! Je ne sais pas si je peux tout nommer, mais je vais essayer. Je dormais mal-je dors maintenant et je me sens reposée. J'avais souvent des colites, des migraines et de nombreux autres inconforts reliés sans doute, tous l'un à l'autre. FINI! Vous entendez, c'est fini. Quand je sens mon ventre, je me dis que je vais devoir prendre rendez-vous avec Lorraine, et c'est drôle, je me rends dans mon ventre et je sais tout de suite de quoi ces sensations retournent. Je fais mes devoirs avec assiduité.

J'avais toujours une idée que le plafond allait me tomber sur la tête, me voilà libre de ces pensées tordues qui me faisaient craindre le pire pour tous et chacun. Je me sentais souvent la porteuse des problèmes des autres.   Je me suis affranchie...la vie est d'autant plus légère que j'ai appris à lâcher prise avec cette thérapie. J'allais oublié...j'ai maintenant un chat à poil, alors que j'étais traitée pour des allergies aussi.

Nous sommes en 2007 et je n'ai plus peur de revenir en arrière. FINI! C'est le plus beau cadeau que je me suis jamais faite. Aucun voyage, aucun bijou, aucun soin corporel ne m'a tant donné.

Merci, Lorraine, pour ton accompagnement: sans toi, je ne peux même envisager ce qu'aurait été mon futur. J'ai tout donné dans cette thérapie: j'ai TOUT reçu...MERCI!


Oxanna écrit:
Depuis fort longtemps, j'ai un surplus de poids... Cette enveloppe protectrice m’a bien servie, mais je suis arrivée à voir que ce n’est que moi que je punis…c’est moi qui ai mal aux genoux, qui supporte un poids qui me fait honte, qui se regarde dans le miroir et qui ne s’aime pas, qui se compare aux autres femmes.



J‘ai décidé de travailler la-dessus. Ma première rencontre avec Lorraine m’a fait prendre conscience de mes attitudes défaitistes et de ma peur de m’engager. Sans l’accueil chaleureux, je repartais avec ma misère sous le bras.  



Quand j’étais petite, on disait que j'étais une rêveuse, toujours dans la lune, et pas de ce monde.  En fait, en vieillissant j’ai eu beaucoup de difficultés a me concentrer. Plus jeune, j’aurais dû être identifier avec un trouble du déficit d’attention. Je n’ai donc pas eu d’aide et j’ai pris des mauvais plis. C’était  pire quand j‘étais fatiguée.



Mes parents auraient donné la lune pour que tout aille bien. Un jour, j’ai réussi à expliquer à mes parents ce que j’avais vécu quand j’étais petite fille auprès de mon grand-père maternel. Quand je leur ai dit,  mon père a dit que j'étais une crisse de folle qui inventait des histoires pour le faire chier… et ma mère a été bouleversé. Il s'agit de son père, c'est très délicat...Je ne leur ai pas parlé depuis.



En tout cas, j'en aurais long a dire sur le déni familial... J’imagine que pour eux, ça fait moins mal si on en parle pas, mais, moi, je suis tannée de me faire dire de me taire. Je ne peux plus rester seule avec tout ça. Mon conjoint a lui aussi eu une vie difficile, nous nous rejoignons dans cet aspect mais il est inutile de lui demander son écoute; il a dépassé sa dose, comme on dit.



Depuis le début de ma thérapie du tunnel, plusieurs choses se sont passées. Côté santé, il semblerait que mon taux de cholestérol ait baissé. Je ne prends presque plus ma canne pour marcher. Je continue de travailler à mon compte et j’ai pu prendre plus de contrats dernièrement. Ça fait quand même 9 mois que je vois Lorraine deux fois semaine. Je sais ce que ça me donne.




Marie-Pierre écrit:

J’avais 26 ans et je vivais une belle histoire d’amour bien entourée de tous mes proches. Un jour, deux soldats ont frappé à ma porte et m’ont annoncé la mort de mon époux en mission dans un autre pays.



Tout s’écroule autour de moi: les étapes du deuil me plonge dans un enfer d’émotions qui passe par le choc, le déni, la peur, la colère et surtout le sentiment d’injustice. Ces émotions se chevauchent tellement pour tenter de survivre tant bien que mal à ce bouleversement que de graves changements de personnalité me font perdre quelques amies et en éloignent d’autres temporairement.



Le temps passe, mais malgré tous mes efforts pour redevenir normale, les sentiments de vide et de solitude m’envahissent. Cherchant à court-circuiter ces sentiments qui me laissent sans motivation, je tombe dans les filets d’un homme sauveur. Je me laisse envoûter. Certaine de pouvoir vivre une autre grande histoire d’amour, je lâche ma garde et recommence à vivre ma vie sous le présage de meilleurs sentiments. Ma grossesse me remplit de bonheur et pendant un temps ma souffrance intérieure m’est cachée.



La vie me réserve une surprise: mon conjoint, jaloux de toute l’attention donnée à son enfant, me bat et me force à faire des pas de plus. Ma famille ne se tient plus; elle m’aide en prenant un rendez-vous chez le médecin. Celui-ci recommande une thérapie. Je suis au désespoir et ma détresse est si grande que je ne sais même pas par quoi commencer.



Les rencontres en thérapie du tunnel me plongent dans une grande confusion. Toutefois, je sens à travers un épais rideau de souffrances que je m’en sortirai grandie. Éventuellement, la force, la détermination se font sentir à nouveau et je commence un cheminement véritable. Les épreuves m’ont renforcée et le sens que je leur trouve me donne du courage pour entreprendre des démarches pour mieux vivre. Je me sépare de mon conjoint et je trouve la force de retourner sur le marché du travail. Mon nouvel emploi ajoute à ma capacité de changer les choses de ma vie.



Ma quête se termine sur un beau paysage: dans le paysage, des objets me montrent clairement ce que je dois travailler. C’est un phare qui me guide tous les jours. Après autant de souffrances et de déni, je me sens dans la réalité et je trouve excitant de me lever chaque matin pour faire face à des obstacles que la vie placent devant moi pour m’aider à me positionner et à prendre ma place en faisant des choix qui ne peuvent être fait que par moi.



Je connais mieux mes besoins. Je cerne mieux mes valeurs. Un jour, je souhaite partager ma vie avec un autre, mais pour le moment, je renais et je suis heureuse avec mon enfant. Je suis en charge de ma vie.



Chantale écrit:

Ma thérapie du tunnel créa une onde de choc autour de moi: mes enfants et mon mari ont eu quelques difficultés à me suivre. On aurait dit que je me  modelais autrement et même moi, j’avais du trouble à comprendre tout ce qui se passait. On aurait dit que ça faisait longtemps que j’étais prête.



Intérieurement, j’étais secouée car je remettais en question bien des événements de ma vie. En me rendant compte que j’avais balayé plusieurs moments sous le tapis, je me disais que toute ma perspective en était changée. Ce n’était pas tout à fait le cas.



Je m’explique: mon premier époux était violent avec moi. Un jour je l’ai quitté, me promettant que plus jamais un homme ne lèverait la main sur moi. J’ai plus tard épousé un homme tellement doux que c’est moi qui a fini par le maltraiter. Quand j’ai voulu soigner ma vie, je savais que cela méritait mon attention parce que chaque souvenir de ces deux relations m’affligeait profondément. Je me flagellais littéralement et j’en avais pour des semaines à redevenir correcte.



Longuement j’ai ressassé ces deux relations sur plusieurs heures de thérapie. Le travail de longue haleine, libérateur certes, donnait lieu à de nombreuses questions sans vraie réponse.



Mais la vie est bien faite. Je travaille dans un organisme pour des personnes à mobilité réduite.  Tous les jours je dois prendre des décisions pour leur bien-être; j’ai donc une relation d’autorité sur eux. C’est comme ça que me sont venues les lumières au bout de mon tunnel.



Au quotidien, je me sentais appelée à jouer un nouveau rôle. Au début, je ne comprenais pas trop, mais quand j’ai fait un suivi avec madame Loranger, j’ai compris que j’étais en intégration. Ce que je cherchais à résoudre en thérapie ne pouvait l’être que dans une situation avec des similarités avec les deux relations du passé. Je suis maintenant à la défense des droits de ces mêmes personnes.




Anne écrit:

Le temps est venu de se retrouver

Sans cesse occupés à travailler et à courir,

Nous regardons la vie passer sans pouvoir la rattraper,

Au point d’en avoir oublié l’art de se retrouver à la maison.



Pour le simple plaisir de vivre un instant de …rien.

Les activités extérieures ont pris une telle importance

Que plus rien ne compte à l’intérieur.



Et voilà que s’installent chaos et confusion

Nous parvenons à jongler avec travail, restos, cours

Alors que nous en oublions la recette d’une blanquette.



Préoccupés que nous sommes par les extravagances de la vie factice,

Les moments privilégiés passés à la maison semblent révolus.

Réveillez le Dieu des lieux, retrouvez les émotions oubliés!



La vie, la vraie, offerte dans mon travail intérieur

Loin de celui des étoiles,

Me laisse récréer un espace qui n’appartienne qu’à moi,



Dans une ambiance de clarté et de simplicité,

Je me suis retrouvée,

J’aime qui j’ai trouvé.




 Alexandra écrit:

Je suis une jeune femme de 36 ans. J’ai enduré mon mal pendant plus de 30 ans, je n’étais ni suicidaire, ni dysfonctionnelle même si je n’avais pas beaucoup de facilité à interagir avec d‘autres. Je me sentais complexée et mon sentiment d’infériorité nuisait à ma réussite sociale. J’ai travaillé fort pour m’en sortir. Le plus difficile c‘était de ne pas savoir ce qui me rongeait. J’étais malheureuse et tous mes efforts ne parvenaient pas à me faire sentir compétente dans ma vie de femme.



Les études…on en parle même pas, je n’avais aucune capacité de concentration. Les travaux que je rédigeais était désorganisés et je n’avais aucune confiance en moi. Le plancher se dérobait facilement sous moi. Mon seul refuge était la nature. J’avais des rêves, mais j’arrivais mal à les mettre en action. Mêlée au possible, je finissais presque toujours par me saboter.



Mon passé a pris tout un autre sens alors que je découvrais ce que j’avais oublié. Je le savais dans mon corps, mais je ne me rappelais pas.



Aujourd’hui, je m’appartiens. La première chose qui m’a frappé en sortant de la thérapie du tunnel alors que j’entreprenais des études supérieures fut ma capacité de synthétiser des textes et d’avoir une bonne idée des étapes à suivre pour rédiger des textes compréhensibles et bien organisés. Parfois, je rêvais du travail à faire et cela me donnait toutes les idées qu’il me serait utile de développer. J’ai fini par me faire confiance et cela a représenté un véritable tournant pour moi.




Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.

Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.

Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir  pour prendre en charge votre destinée. 

Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.






3 commentaires:

  1. Je ne sais pas si vous parlez parfois des objets, des animaux qui déclenchent les mêmes peurs. Quand j'étais enfant, un vieux monsieur m'a attiré chez lui pour voir son chat. Il m'a agressé sexuellement; depuis ce jour, je crains les chats. Je n'ai pas vu son chat mais l'association est restée.

    Pour le moment, je ne peux faire votre thérapie. Je lis tous vos articles et je vous ai déjà écrit à l'adresse que vous donnez à la fin du blog. C'était un commentaire général. Je vous souhaite longue vie, madame.

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  2. J'ai imaginé que je viendrais vous voir pour régler une phobie lointaine. Quand j'étais petite, un homme m'a fait faire des choses et je suis restée avec un dégoût qui m'empêche de faire ma vie avec un homme. Est-il possible de faire disparaître un tel sentiment qui a pris racine il y a plus de 30 ans?

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  3. Bonjour Lorraine,

    J'avais lu un article en 2011 "Les causes profondes de la maladie" 28 novembre 2011. J'avais peur mais j'avais hâte aussi de faire cette thérapie.
    C'était la première fois de toute ma vie qu'on me donnait la permission d'exprimer mes émotions, de façon verbale et corporelle. J'ai vu que c'était bon pour la santé. Mes résultats: J'ai perdu du poids, changé de travail et j’ai maintenant une vie qui me satisfait. La thérapie du tunnel a changé ma façon de vivre ma vie. Tout un changement! Viviane

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