mardi 26 mars 2013

L'intégration en thérapie du tunnel, un outil de changement! Témoignages

Tant de gens sont limités dans leur vie par leurs circonstances
Les complexes, les refoulements, l'agressivité, la recherche de multiples compensations, le manque d'estime sont autant de forces qui maintiennent les personnes dans leurs misères et qui minent la santé. Tapies dans l'ombre, ces fauteurs de névroses et de maladies maintiennent la vie des personnes sous coupe et les empêchent de se développer et d'explorer tout leur potentiel.

Les applications de la thérapie du tunnel sont innombrables
Les applications de la thérapie du tunnel sont innombrables non seulement pour les adultes en dépression, mais pour la prévention et le traitement de diverses névroses, de stress et malaises physiques et psychosomatiques. La thérapie du tunnel est, enfin et surtout, un outil formidable de connaissance de soi. Son  terrain privilégié est l’individu en rupture avec lui-même. 

La plupart des gens gardent en eux des éléments qui les tirent vers la dépression. Dès que la thérapie débute, ces différentes façons avec lesquels il est devenu étranger à lui-même, se manifestent pour qu'il s'en dégage.

La mémoire affective
Un concept fondamental en thérapie du tunnel est celui de la mémoire affective. Ce processus inné influence tout le fonctionnement mental de l’individu à son insu, qu’il soit normal ou anormal. Son rôle, associé à l’inscription de tous les événements perturbateurs, peut ressembler à la touche « enter » sur le clavier d’ordinateur pour le déroulement d’un film où sont enregistrées autant les images, que les pensées et les sensations qui y sont agrégées.

L'interprétation du vécu comme vérité subjective
L’identité d’une personne est façonnée essentiellement par ce qu’elle a vécu et même ce qu’elle croit avoir vécu, donc, son interprétation. Cette vérité subjective révèle autant les illusions et les souvenirs que les mémoires fabriquées. 

La relecture donne de nouveaux éclairages
Rappelons qu’il s’agit de la mémoire subjective. Les faits, tels qu’ils sont, demeurent, mais à leur relecture, des changements dans la vie de l’individu ou de nouveaux éclairages cognitifs peuvent modifier ce qu’il en retient. Le regard posé sur un événement peut s’en trouver enrichi ou appauvri pour lui donner une nouvelle dimension. 

Changer pour exister autrement demain
Le changement et l’atteinte d’objectifs sérieux ne se font pas sans un engagement ferme, mais quand le terrain est finalement nettoyé, on a beaucoup d'obstacles pour le mettre de l'avant. L'engagement et la réussite du changement fait la promotion d'une confiance retrouvée, redonne du sens à l'individu en rendant accessible ses ressources naturelles qui sont les clés du succès pour un changement durable.

Sortir du chaos intérieur
En thérapie du tunnel on recherche ce qui a déclenché le symptôme. Si on arrive à le relier à un événement, le client l'intègre à sa personnalité et il se libère non seulement du symptôme mais aussi des émotions enfouies. La sortie du chaos intérieur qu’induisent souvent des émotions longtemps retenues est dégagée et libérée ». 

L'estime de soi commence avec l'acceptation de soi
Apprendre à s'apprécier tels que nous sommes, connaître ses goûts, ses besoins, ses capacités et ses limites augmentent l'estime de soi. Comme le petit de l'humain est un être social, sa perception de lui-même se forge dès l'enfance au contact des autres: ses parents, ses amis  et la manière dont ils agiront avec lui auront une influence directe sur sa perception de lui-même et son estime de soi. Son sentiment d'avoir une valeur se développe davantage à l'adolescence. Rendu à l'âge adulte, l'addition de ses succès et de son environnement de travail, en famille, joueront un rôle important dans son estime de soi. 

Travailler sur soi et non sur l'autre
Le changement intervient seulement quand on commence à travailler sur le "soi" plutôt que de garder le focus sur l'autre et de réagir à l'autre.

La démarche de la thérapie du tunnel est plus rapide
La démarche de la thérapie du tunnel comme méthode de « récit de vie » est comme nulle autre. Plus accélérée que toute autre forme de « récit de vie », parce que les mécanismes de défense ont moins l’option de se mettre en place que dans une thérapie verbale conventionnelle. Le trajet en thérapie du tunnel permet de comprendre pourquoi l’individu a enfoui ses souffrances si loin que possible. Nous dirons que les événements ont été occultés par de fausses sécurités inconscientes. L’espace libéré par le nettoyage peut maintenant faire une place à une « nourriture » de choix pour retrouver une motivation et des repères mieux adaptés à ses besoins contemporains.  

Cité « De l’ombre à la lumière : la guérison par le récit de vie émotionnel » P. 120 et P. 139

La maturation de l'individu est souhaitable
La forme d’intelligence qui se développe à travers les différentes intégrations est une forme de maturation. La maturation ne peut s’effectuer que si les conditions optimales sont favorables: après le grand nettoyage de la thérapie du tunnel, les fonctions nerveuses peuvent mûrir et atteindre le perfectionnement prévu. En voici des exemples:

Jacquie écrit:
« Même quand je ne voulais pas, je me mettais dans le coin. À force de dire oui à tout, je finissais par démontrer que j’étais incapable de m’affirmer; dans mes relations professionnelles, je faisais abuser de moi fréquemment parce que je voulais être aimée, appréciée et reconnue. Je me pliais en quatre pour plaire et pour ne pas déplaire. Maintenant, je tente d’être pleinement moi-même, en préférant l’évolution au statu quo. M’affirmer, aller vers ce qui est moins raisonnable à faire, voilà ce qui me porte au changement. Ce chemin que j’ai choisi en toute connaissance de cause me demande d’assumer certains risques. Le défi de me dégager de mon faux moi, je l’ai relevé grâce au travail fait en thérapie ».

Roxanne écrit:
En 2002, je me suis faite un gros cadeau.

J'ai dû prendre mon chèque d'impôt pour faire la thérapie du tunnel, mais, je me suis dit que si je continuais comme ça allait déjà, le temps viendrait où je serais tellement malade que je ne pourrais plus faire qu‘une  démarche médicale. Je ne voulais pas en arriver là!

En prenant rendez-vous, j'ai failli flancher. Il me faudrait tout dire et je suis une personne assez secrète. Tout un défi!

J'avais bien sûr tout lu sur mes problèmes, j'en connaissais probablement plus que bien des médecins, même ceux qui me traitaient. Je leur suis quand même reconnaissante: sans eux, ma vie aurait été un enfer, mais en dedans de moi, je savais que ce n'était pas la solution.

Ça m'a pris une année complète, une fois semaine, mais quel résultat! Je ne sais pas si je peux tout nommer, mais je vais essayer. Je dormais mal-je dors maintenant et je me sens reposée. J'avais souvent des colites, des migraines et de nombreux autres inconforts reliés sans doute, tous l'un à l'autre. FINI! Vous entendez, c'est fini. Quand je sens mon ventre, je me dis que je vais devoir prendre rendez-vous avec Lorraine, et c'est drôle, je me rends dans mon ventre et je sais tout de suite de quoi ces sensations retournent. Je fais mes devoirs avec assiduité.

J'avais toujours une idée que le plafond allait me tomber sur la tête, me voilà libre de ces pensées tordues qui me faisaient craindre le pire pour tous et chacun. Je me sentais souvent la porteuse des problèmes des autres.   Je me suis affranchie...la vie est d'autant plus légère que j'ai appris à lâcher prise avec cette thérapie. J'allais oublié...j'ai maintenant un chat à poil, alors que j'étais traitée pour des allergies aussi.

Nous sommes en 2007 et je n'ai plus peur de revenir en arrière. FINI! C'est le plus beau cadeau que je me suis jamais faite. Aucun voyage, aucun bijou, aucun soin corporel ne m'a tant donné.

Merci, Lorraine, pour ton accompagnement: sans toi, je ne peux même envisager ce qu'aurait été mon futur. J'ai tout donné dans cette thérapie: j'ai TOUT reçu...MERCI!


Oxanna écrit:
Depuis fort longtemps, j'ai un surplus de poids... Cette enveloppe protectrice m’a bien servie, mais je suis arrivée à voir que ce n’est que moi que je punis…c’est moi qui ai mal aux genoux, qui supporte un poids qui me fait honte, qui se regarde dans le miroir et qui ne s’aime pas, qui se compare aux autres femmes.



J‘ai décidé de travailler la-dessus. Ma première rencontre avec Lorraine m’a fait prendre conscience de mes attitudes défaitistes et de ma peur de m’engager. Sans l’accueil chaleureux, je repartais avec ma misère sous le bras.  



Quand j’étais petite, on disait que j'étais une rêveuse, toujours dans la lune, et pas de ce monde.  En fait, en vieillissant j’ai eu beaucoup de difficultés a me concentrer. Plus jeune, j’aurais dû être identifier avec un trouble du déficit d’attention. Je n’ai donc pas eu d’aide et j’ai pris des mauvais plis. C’était  pire quand j‘étais fatiguée.



Mes parents auraient donné la lune pour que tout aille bien. Un jour, j’ai réussi à expliquer à mes parents ce que j’avais vécu quand j’étais petite fille auprès de mon grand-père maternel. Quand je leur ai dit,  mon père a dit que j'étais une crisse de folle qui inventait des histoires pour le faire chier… et ma mère a été bouleversé. Il s'agit de son père, c'est très délicat...Je ne leur ai pas parlé depuis.



En tout cas, j'en aurais long a dire sur le déni familial... J’imagine que pour eux, ça fait moins mal si on en parle pas, mais, moi, je suis tannée de me faire dire de me taire. Je ne peux plus rester seule avec tout ça. Mon conjoint a lui aussi eu une vie difficile, nous nous rejoignons dans cet aspect mais il est inutile de lui demander son écoute; il a dépassé sa dose, comme on dit.



Depuis le début de ma thérapie du tunnel, plusieurs choses se sont passées. Côté santé, il semblerait que mon taux de cholestérol ait baissé. Je ne prends presque plus ma canne pour marcher. Je continue de travailler à mon compte et j’ai pu prendre plus de contrats dernièrement. Ça fait quand même 9 mois que je vois Lorraine deux fois semaine. Je sais ce que ça me donne.




Marie-Pierre écrit:

J’avais 26 ans et je vivais une belle histoire d’amour bien entourée de tous mes proches. Un jour, deux soldats ont frappé à ma porte et m’ont annoncé la mort de mon époux en mission dans un autre pays.



Tout s’écroule autour de moi: les étapes du deuil me plonge dans un enfer d’émotions qui passe par le choc, le déni, la peur, la colère et surtout le sentiment d’injustice. Ces émotions se chevauchent tellement pour tenter de survivre tant bien que mal à ce bouleversement que de graves changements de personnalité me font perdre quelques amies et en éloignent d’autres temporairement.



Le temps passe, mais malgré tous mes efforts pour redevenir normale, les sentiments de vide et de solitude m’envahissent. Cherchant à court-circuiter ces sentiments qui me laissent sans motivation, je tombe dans les filets d’un homme sauveur. Je me laisse envoûter. Certaine de pouvoir vivre une autre grande histoire d’amour, je lâche ma garde et recommence à vivre ma vie sous le présage de meilleurs sentiments. Ma grossesse me remplit de bonheur et pendant un temps ma souffrance intérieure m’est cachée.



La vie me réserve une surprise: mon conjoint, jaloux de toute l’attention donnée à son enfant, me bat et me force à faire des pas de plus. Ma famille ne se tient plus; elle m’aide en prenant un rendez-vous chez le médecin. Celui-ci recommande une thérapie. Je suis au désespoir et ma détresse est si grande que je ne sais même pas par quoi commencer.



Les rencontres en thérapie du tunnel me plongent dans une grande confusion. Toutefois, je sens à travers un épais rideau de souffrances que je m’en sortirai grandie. Éventuellement, la force, la détermination se font sentir à nouveau et je commence un cheminement véritable. Les épreuves m’ont renforcée et le sens que je leur trouve me donne du courage pour entreprendre des démarches pour mieux vivre. Je me sépare de mon conjoint et je trouve la force de retourner sur le marché du travail. Mon nouvel emploi ajoute à ma capacité de changer les choses de ma vie.



Ma quête se termine sur un beau paysage: dans le paysage, des objets me montrent clairement ce que je dois travailler. C’est un phare qui me guide tous les jours. Après autant de souffrances et de déni, je me sens dans la réalité et je trouve excitant de me lever chaque matin pour faire face à des obstacles que la vie placent devant moi pour m’aider à me positionner et à prendre ma place en faisant des choix qui ne peuvent être fait que par moi.



Je connais mieux mes besoins. Je cerne mieux mes valeurs. Un jour, je souhaite partager ma vie avec un autre, mais pour le moment, je renais et je suis heureuse avec mon enfant. Je suis en charge de ma vie.



Chantale écrit:

Ma thérapie du tunnel créa une onde de choc autour de moi: mes enfants et mon mari ont eu quelques difficultés à me suivre. On aurait dit que je me  modelais autrement et même moi, j’avais du trouble à comprendre tout ce qui se passait. On aurait dit que ça faisait longtemps que j’étais prête.



Intérieurement, j’étais secouée car je remettais en question bien des événements de ma vie. En me rendant compte que j’avais balayé plusieurs moments sous le tapis, je me disais que toute ma perspective en était changée. Ce n’était pas tout à fait le cas.



Je m’explique: mon premier époux était violent avec moi. Un jour je l’ai quitté, me promettant que plus jamais un homme ne lèverait la main sur moi. J’ai plus tard épousé un homme tellement doux que c’est moi qui a fini par le maltraiter. Quand j’ai voulu soigner ma vie, je savais que cela méritait mon attention parce que chaque souvenir de ces deux relations m’affligeait profondément. Je me flagellais littéralement et j’en avais pour des semaines à redevenir correcte.



Longuement j’ai ressassé ces deux relations sur plusieurs heures de thérapie. Le travail de longue haleine, libérateur certes, donnait lieu à de nombreuses questions sans vraie réponse.



Mais la vie est bien faite. Je travaille dans un organisme pour des personnes à mobilité réduite.  Tous les jours je dois prendre des décisions pour leur bien-être; j’ai donc une relation d’autorité sur eux. C’est comme ça que me sont venues les lumières au bout de mon tunnel.



Au quotidien, je me sentais appelée à jouer un nouveau rôle. Au début, je ne comprenais pas trop, mais quand j’ai fait un suivi avec madame Loranger, j’ai compris que j’étais en intégration. Ce que je cherchais à résoudre en thérapie ne pouvait l’être que dans une situation avec des similarités avec les deux relations du passé. Je suis maintenant à la défense des droits de ces mêmes personnes.




Anne écrit:

Le temps est venu de se retrouver

Sans cesse occupés à travailler et à courir,

Nous regardons la vie passer sans pouvoir la rattraper,

Au point d’en avoir oublié l’art de se retrouver à la maison.



Pour le simple plaisir de vivre un instant de …rien.

Les activités extérieures ont pris une telle importance

Que plus rien ne compte à l’intérieur.



Et voilà que s’installent chaos et confusion

Nous parvenons à jongler avec travail, restos, cours

Alors que nous en oublions la recette d’une blanquette.



Préoccupés que nous sommes par les extravagances de la vie factice,

Les moments privilégiés passés à la maison semblent révolus.

Réveillez le Dieu des lieux, retrouvez les émotions oubliés!



La vie, la vraie, offerte dans mon travail intérieur

Loin de celui des étoiles,

Me laisse récréer un espace qui n’appartienne qu’à moi,



Dans une ambiance de clarté et de simplicité,

Je me suis retrouvée,

J’aime qui j’ai trouvé.




 Alexandra écrit:

Je suis une jeune femme de 36 ans. J’ai enduré mon mal pendant plus de 30 ans, je n’étais ni suicidaire, ni dysfonctionnelle même si je n’avais pas beaucoup de facilité à interagir avec d‘autres. Je me sentais complexée et mon sentiment d’infériorité nuisait à ma réussite sociale. J’ai travaillé fort pour m’en sortir. Le plus difficile c‘était de ne pas savoir ce qui me rongeait. J’étais malheureuse et tous mes efforts ne parvenaient pas à me faire sentir compétente dans ma vie de femme.



Les études…on en parle même pas, je n’avais aucune capacité de concentration. Les travaux que je rédigeais était désorganisés et je n’avais aucune confiance en moi. Le plancher se dérobait facilement sous moi. Mon seul refuge était la nature. J’avais des rêves, mais j’arrivais mal à les mettre en action. Mêlée au possible, je finissais presque toujours par me saboter.



Mon passé a pris tout un autre sens alors que je découvrais ce que j’avais oublié. Je le savais dans mon corps, mais je ne me rappelais pas.



Aujourd’hui, je m’appartiens. La première chose qui m’a frappé en sortant de la thérapie du tunnel alors que j’entreprenais des études supérieures fut ma capacité de synthétiser des textes et d’avoir une bonne idée des étapes à suivre pour rédiger des textes compréhensibles et bien organisés. Parfois, je rêvais du travail à faire et cela me donnait toutes les idées qu’il me serait utile de développer. J’ai fini par me faire confiance et cela a représenté un véritable tournant pour moi.




Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.

Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.

Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir  pour prendre en charge votre destinée. 

Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.






mardi 12 mars 2013

L'intégration, la pierre d'assise de la thérapie du tunnel

« Le passé est lié au présent  par une chaîne ininterrompue d’événements » (Anton Tchékhov).


Le corps et l'esprit réunis dans l'aisance et la paix

L'intégration dans une démarche demeure la pierre d'assise de la thérapie du tunnel. L'émotion est la base même de la vie humaine. Le corps et l'esprit sont réunis vers le but de l'aisance et la paix en libérant de multiples stress.


Une image parlante de l’objet du travail intérieure
Bérénice-Bénédicte DARTEVELLE donne une image des germes qui poussent sur les pommes de terre. L’image des germes  résume bien l’objet du travail intérieur:
« Je me souviens que, lorsque j'étais enfant, nous stockions nos réserves de pommes de terre au sous-sol, à plusieurs mètres d'un petit soupirail.  En dépit de ces conditions peu favorables, les pommes de terre se mettaient à germer, mais ces germes blancs et pâles étaient très différents des pousses vertes et vigoureuses qui apparaissaient sur les pommes de terre lorsqu'elles étaient plantées au printemps. Mais ces maigres germes atteignaient deux ou trois pieds de long à mesure qu'ils se dirigeaient vers la lointaine lumière de la lucarne ».

 Une manifestation particulière de la conscience selon Janet
Décrit par Janet comme « une manifestation particulière de la conscience"(décrite en 1889) sous le nom de "subconscience par désagrégation", cette dissociation, ce passage de certains phénomènes psychologiques dans un groupe particulier me paraissait en rapport avec l’épuisement déterminé par diverses causes et en particulier par l’émotion ».  Il continue en disant : « J’ai été amené à supposer que dans des cas de ce genre il y avait une certaine relation entre cette dissociation des souvenirs et le gravité des troubles que ces souvenirs devenus subconscients déterminaient ».

L’intégration, la pierre d’assise de la thérapie du tunnel

La pierre d'assise de la thérapie du tunnel se trouve dans l'intégration des  émotions reliées aux souvenirs qui causent toutes sortes de contraintes internes chez l'individu. De l’embarras ou de l’inhibition d’action à tous les projets refoulés aux calendes grecques, des pensées intrusives à des troubles obsessifs-compulsifs, de dépression en dépression, les traces des conflits intérieurs déchirent l’âme. La gestalt occasionnée par l'intégration des souvenirs contribue à la maturation de l'individu.

La régression consciente est utilisée comme outil 
La régression consciente (par le corps ou des associations) est utilisée comme un outil de choix. Tout le monde connaît ce phénomène. On peut vivre des régressions accidentelles: par exemple, une cliente appelée à faire un témoignage devant des gens de loi fut vite en contact avec une expérience vécue à la cour alors qu'elle était enfant de la (DPJ) Protection de la Jeunesse. Cette expérience hors d’un cadre thérapeutique lui a donné accès à sa conscience d'enfant tout en la conviant à des réponses adaptées pour le moment présent.

La collection de souvenirs provient du néocortex
Pour le dire autrement, l'accès à la collection de souvenirs menaçants se fait à l'aide des parties du cerveau situées dans le néocortex. Selon plusieurs études transversales scientifiques, il semblerait que le lobe frontal gauche joue un rôle important dans la régulation des émotions désagréables et du stress en minimisant les signaux d'alarme de l'amygdale. C'est la raison pour laquelle, tout en nous référant à une expérience du passé, ce rappel ne nous déséquilibre pas. C'est simplement pour optimiser la capacité de faire des nuances et des liens utiles entre des événements.

La mise en scène d’événements avec des émotions intenses
La thérapie du tunnel fait la mise en scène d’événements impliquant des émotions intenses, bloquées, refoulées dans le corps ou dans la tête pour en permettre l’intégration dans la personnalité. Transvaser de l'inconscient au conscient permet de défaire les blocages intérieurs et de récupérer l'énergie  retenue.

Le monde perçu à travers les yeux de l’enfant 
Toutes nos expériences sont enregistrées. L’inconscient détient notre passé; il est en dessous de la conscience. Janet décrivait la pensée inconsciente automatique et soutenait que seule une infime partie des relations entre l’individu et son environnement se déroule au niveau conscient.

L'estime de soi commence avec l'acceptation de soi
Apprendre à s'apprécier tels que nous sommes, connaître ses goûts, ses besoins, ses capacités et ses limites augmentent l'estime de soi. Comme le petit de l'humain est un être social, sa perception de lui-même se forge dès l'enfance au contact des autres: ses parents, ses amis  et la manière dont ils agiront avec lui auront une influence directe sur sa perception de lui-même et son estime de soi. Son sentiment d'avoir une valeur se développe davantage à l'adolescence. Rendu à l'âge adulte, l'addition de ses succès et de son environnement de travail, en famille, joueront un rôle important dans son estime de soi. 

Le conflit psychique, l’angoisse et la culpabilité
L’homme tiraillé est en rupture avec lui-même. Le conflit psychique, l’angoisse inévitable et la culpabilité lui font adopter des attitudes et une conduite contraire à  son entendement rationnel. Ainsi une personne avec des valeurs éthiques peut se retrouver à mettre le feu à ses bâtiments pour obtenir la prime d’assurance.

Rechercher ce qui a déclenché le symptôme
En thérapie du tunnel on recherche ce qui a déclenché le symptôme. Quand l'individu arrive à le relier à un ou à des événement(s) le client l'intègre à sa personnalité et il est souvent délivré non seulement du symptôme, mais aussi des émotions enfouies. 

La guérison demande de démolir des mécanismes de défense

Pour arriver à la guérison, il est nécessaire de démolir progressivement l’une après l’autre les différents mécanismes de défense défensifs et d’éliminer tout blocage dans l’expression des sentiments et émotions. Il ne s’agit pas juste de mettre à jour ces émotions inconscientes, mais de les résoudre d’une manière satisfaisante.

Chaque symptôme raconte une histoire

Les individus identifient leurs propres problèmes et chaque symptôme amené par le subconscient raconte une histoire, révélant  des croyances illogiques et des décisions erronées. Par ce fait, celui qui a entrepris la démarche découvre ses propres solutions à ses problèmes en coopération avec ses objectifs de départ.

La réaction est celle de l'enfant intérieur
Une partie de notre conscience perçoit le monde avec les yeux de l'enfant que nous avons été ; l'autre partie voit le monde à travers les yeux de l'adulte que nous sommes. En raison de cette capacité, nous percevons et vivons les événements différemment selon la partie de la conscience à laquelle nous accédons. Les lobes préfrontaux sont les parties du néocortex qui suscitent les réactions émotionnelles. L’amygdale, quant à elle, réagit de  manière impulsive et moins réfléchie au stress, s’emballant à tel point que le cerveau rationnel est pris en otage. La réaction est spontanée: l’individu fige les émotions de l’événement pour s’en protéger et refoule ses souffrances. On donne à ces troubles le nom de souvenir traumatique.

La persistance du souvenir

L’inconscient détient notre passé. Dans certains cas, le souvenir de l’événement persiste avec son cortège de sentiments divers. Pour d’autres personnes, le souvenir devient inaccessible, mais la pensée, le corps ou les comportements l’illustrent.

Faire la paix avec les événements en les intégrant

La thérapie du tunnel va confronter l’individu à ses problèmes passés, à des aspects oubliés ou occultés. De vieux ressentiments envers des personnes proches vont refaire surface et de douloureux secrets longuement refoulés se manifesteront. Des émotions et des sentiments réprimés depuis des années  vont se révélés alors que ceux-ci étaient verrouillés par la peur. Faire la paix avec ces éléments va lui redonner une grande liberté et une énergie renouvelée qu'il pourra dès lors utiliser pour réaliser ses rêves.

La métaphore de la traversée du tunnel

Traverser le tunnel de la thérapie du tunnel est une métaphore. Il représente les aspects cachés des expériences non-comprises ou non digérées. Le lien entre les expériences non assimilées et l’identité personnelle deviendra évident en ce sens que ce que l’on sait aide à nous définir et à donner notre expansion.

Le passé non-réglé est toujours devant soi
Tant que le passé n’est pas réglé, la tendance dans l’âge adulte est de ressentir et répéter toujours les mêmes souffrances qui proviennent d’expériences douloureuses survenues le plus souvent dans l’enfance. Le terrain affectif est propice à développer le maintien des circonstances de l’enfance. Cet aspect de la vie devient très évident durant la période d'intégration.

Les mécanismes de survie
Les mécanismes de survie prennent racine de l’enfance. Comme l’enfant n’a pas assez de connaissances pour choisir sa réaction, le comportement adopté n’est pas rationnel. C’est l’enfant en soi qui réagit. C’est une attitude qui permet de survivre. Le travail sur soi au Centre Au nom de la santé consiste à intégrer les émotions refoulées. Que de décisions à réviser alors que celles-ci furent prises pour éviter la souffrance!

La conscience intégrative pour une distinction entre le présent et le passé

Le travail intérieur conscient permet d'intégrer le cognitif, le comportemental, l'émotionnel et la conscience du moment présent. La conscience intégrative permet de faire une distinction marquée entre le présent et le passé et de réagir de manière appropriée. La régression rend les expériences refoulées accessibles empêchant l’individu d’être soumis à l’impératif de l’irrationnel. 

Après la révision du passé, l'histoire ressemble à un bon livre 

Une conscience unifiée ramène au présent sans la douleur que l'enfant a dû refouler et nier pour survivre. Les anciennes douleurs de notre enfance revécues en thérapie du tunnel démantèlent les mécanismes de défense qui protègent à tort et à travers pour une protection désirable pour un enfant mais pas pour un adulte.

Les expériences douloureuses
Le travail en thérapie du tunnel atténue la tendance dans l’âge adulte à ressentir et à répéter toujours les mêmes souffrances qui proviennent d’expériences douloureuses survenues le plus souvent dans l’enfance et qui se transforment en douleurs corporelles. Le terrain affectif s'en trouve amélioré et l'individu retrouve sa liberté intérieure devenant plus unifié.

Toutes les émotions sont utiles

Plus le travail se fait en conscience plus l’individu devient conscient, non seulement des stimuli extérieurs, mais aussi de ses idées, de ses rêves, et du flot incessant de ses sentiments, de ses émotions et de ses réactions physiologiques. Plus cette conscience sera grande, mieux l’individu pourra se mouvoir dans une direction qui est en accord avec le flux de sa vie contemporaine.

Modifier les cartes cognitives et émotionnelles 

La thérapie du tunnel est une façon de modifier les cartes cognitives et émotionnelles des individus. Les clients expérimentent un sens nouveau à leur vie. Leur habileté plus grande à faire des choix qui sont alignés avec leurs buts conscients offre une nouvelle raison d'être. La plus grande souplesse dans leur interaction avec des gens et des situations modifie leurs croyances face à eux-mêmes et une plus grande appréciation des autres. Leur nouvelle confiance et une meilleure estime de soi produisent des changements concrets et durables. Leur bonheur en est amélioré. Les changements sont habituellement évidents dès la fin du processus et sont cumulatifs dans les semaines et les mois qui suivent. 

Changer pour exister autrement demain
Le changement et l’atteinte d’objectifs sérieux ne se font pas sans un engagement ferme, mais quand le terrain est finalement nettoyé, on a beaucoup d'obstacles pour le mettre de l'avant. L'engagement et la réussite du changement fait la promotion d'une confiance retrouvée, redonne du sens à l'individu en rendant accessible ses ressources naturelles qui sont les clés du succès pour un changement durable.

La démarche de la thérapie du tunnel est plus rapide
 La démarche de la thérapie du tunnel comme méthode de « récit de vie » est comme nulle autre. Plus accélérée que toute autre forme de « récit de vie », parce que les mécanismes de défense ont moins l’option de se mettre en place que dans une thérapie verbale conventionnelle. Le trajet en thérapie du tunnel permet de comprendre pourquoi l’individu a enfoui ses souffrances si loin que possible. Nous dirons que les événements ont été occultés par de fausses sécurités inconscientes. L’espace libéré par le nettoyage peut maintenant faire une place à une « nourriture » de choix pour retrouver une motivation et des repères mieux adaptés à ses besoins contemporains.  

Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.

Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.

Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir  pour prendre en charge votre destinée. 

Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.

mercredi 6 mars 2013

Raviver les ressources naturelles de l’individu

Raviver les ressources naturelles de l’individu 
Raviver les ressources naturelles de l’individu devrait être une tradition de pensée, une manière de donner et d’envisager la vie disponible pour tous ceux qui souffrent pour qu’ils se réengagent face à eux-mêmes, qu’ils se redonnent LEUR VIE par le biais du « récit de vie » émotionnel. C’est le fruit de ma réflexion pratique copié de mon livre " De l’ombre à la lumière : La guérison par un récit de vie émotionnel "(page extérieure du livre: "De l'ombre à la lumière: la guérison par un récit de vie émotionnel", 2008, Lorraine Loranger).

Ce qu’on appelle la résilience n’est souvent que de l’endurance
Contre la souffrance éprouvée, hommes et femmes érigent des défenses. Les « stratégies de défense » sont subtiles, même bouleversantes d’ingéniosité et d’inventivité. Mais elles recèlent un piège qui se referme sur ceux qui, grâce à elles, parviennent à endurer la souffrance sans ployer. Faute de regarder et de chercher les causes profondes de son déséquilibre grandissant, l’individu éprouve le sentiment de passer à côté de sa vie ou d’être laissé pour compte.

La résilience force l'admiration 
Les efforts consentis par les résilients rendent ceux-ci victimes de leur propre succès en les figeant dans une construction parfois factice qui les oblige à être faux.

"Personne ne doit savoir que je me bats tous les jours contre cette impression d'être vile et sale. Le masque que je porte me protège de toucher le fond de ma souffrance, mais en même temps m'empêche de recevoir le soutien dont j'ai tant besoin" dit une de ces personnes". 

Retarder le processus d’exploration de la souffrance
Les sentiments d’angoisse qui résultent conduisent vers l’épuisement rapide de l’énergie vitale. Dans les nombreux efforts pour tenter de les atténuer ou de les faire disparaître, la dépression que l’on tente de surmonter en puisant dans la pharmacopée puissante de la médecine du corps pour en supprimer les effets ne fait que retarder le processus d’exploration de la souffrance, véritable clé de la guérison. Avoir recours aux médecines du corps n’est pas inutile, mais s’il existe vraiment un but dans la recherche du bien-être, il faut avoir une vision à long-terme.

Le client résout ses problèmes sans outils particuliers
L’évaluation de chaque étape se fait toujours avec le client. Dans la plupart des démarches entreprises librement, le client, même celui qui souffre d'une dépression, résout d’une manière originale et inédite ses problèmes et n’a pas besoin d’outils particuliers. Le travail s’enclenche par lui-même grâce au nettoyage.

Rehausser l’estime de soi
Cela rehausse son estime de soi car la démarche respecte le cheminement du client. Les ajouts singuliers demandés par le client au début de la démarche du client ont souvent déjà pris place dès que certains pans de vie ont été nettoyés. Pour d’autres personnes, des recadrages pointus comme « la joie de vivre », « le sens de l’humour », « la légèreté » s’ajouteront pour un rehaussement de qualité de vie.

Se délivrer des contrôles externes
Quand l’individu trouve joie et sens dans le bien-être continue de son expérience interne, il est délivré des contrôles externes et des stress internes.

Un outil pour une distance saine entre soi et la souffrance
L’utilisation de l’outil de Jean-Charles Crombez (2003), la démarche Écho comblera une demande pour un recul salutaire par rapport à la souffrance. Chacune des personnes qui l’ont vécue le fait d’une manière unique et très personnelle. Dans la façon de l’utiliser en thérapie du tunnel, la démarche Écho constitue une détente où la personne a un rôle central et actif. Ainsi des liens entre les différents niveaux, physique, mental et affectif sont mis en évidence pour aller de l’implicite à l’explicite.

Un terrain assaini de nouvelles ressources 
Après un grand nettoyage je propose d’autres outils performants car si ces outils sont proposés trop rapidement, cela apparaît trop magique pour y croire. 

Des outils pour modifier des relations enchevêtrées
Certaines relations enchevêtrées seront complétées ou mises à distance saine avec des outils particuliers. Toutefois, dans mon raisonnement, résoudre immédiatement ce qui pour le client équivaut à son adrénaline quotidienne dans ses rapports interpersonnels demanderait qu’il acquiert et développe une compétence qu’il est capable de produire seulement à partir de certains principes fondamentaux d’incorporation et d’intégration, au moment voulu.   

L'estime de soi commence avec l'acceptation de soi
Apprendre à s'apprécier tels que nous sommes, connaître ses goûts, ses besoins, ses capacités et ses limites augmentent l'estime de soi. Comme le petit de l'humain est un être social, sa perception de lui-même se forge dès l'enfance au contact des autres: ses parents, ses amis  et la manière dont ils agiront avec lui auront une influence directe sur sa perception de lui-même et son estime de soi. Son sentiment d'avoir une valeur se développe davantage à l'adolescence. Rendu à l'âge adulte, l'addition de ses succès et de son environnement de travail, en famille, joueront un rôle important dans son estime de soi. 

La fin de la thérapie du tunnel
Après un bon déblayage débouchant sur le paysage naturel du client, ces outils de transformation sont proposés d’emblée, mais ils seront souvent utilisés après l’évaluation des quatre critères prédéterminés dont je parlerai dans un article subséquent.

Les tentatives de solutions rapides sont dénuées de logique
Les tentatives de solutions rapides pour accroître la santé stratégiquement sont bien souvent dénuées de logique. L’immédiateté en fait souvent partie.  La souffrance est telle que les personnes ont de la difficulté à saisir que ce qui a pris plus de trente ans à se construire ne peut se défaire en quelques heures. Si on prend le temps de regarder, on se rend compte que même la nature ne peut se guérir rapidement avec des soins spécialisés. Le temps est un facteur clé de grande importance.

Les thérapies brèves et les thérapies spirituelles soulagent
Les thérapies brèves offrent des outils merveilleux et les thérapies spirituelles soulagent, à n’en pas douter, mais elles ne permettent pas de liquider le passé.

Des « stratégies de défense » subtiles, bouleversantes d’ingéniosité et d’inventivité
Plusieurs pourraient être tentés d’effacer avec la boisson ou la drogue leurs souvenirs malheureux en refusant de vivre les sensations douloureuses des manques d’amour, en résistant passivement au lieu d’abattre les obstacles ou en se refermant sur eux-mêmes dans une espèce de carapace insensible. En quelque sorte, pour parvenir tant bien que mal à survivre, on se dépersonnalise, on se déconnecte de soi-même. C’est un chemin d’auto-sabotage.

Vouloir être entier, vouloir être authentique et être soi
En thérapie du tunnel on recherche ce qui a déclenché le symptôme. Quand l'individu arrive à le relier à un ou à des événement(s) le client l'intègre à sa personnalité et il est souvent délivré non seulement du symptôme, mais aussi des émotions enfouies. 

La paix du coeur, de l'esprit et du corps
Guérir signifie que l’on veut être entier. Vouloir être entier signifie vouloir être authentique et être soi. Le but de la vérité a des avantages pratiques dans cette forme de « récit de vie », le résultat visant la paix du cœur, de l’esprit et du corps. Il est vrai que la vérité émotive requiert beaucoup de foi. Toute personne, à n’importe quel moment de sa vie, peut décider de guérir sa vie blessée.


Quand on aime la vie,
On aime le passé,
Parce que c’est le présent
Qui a survécu
Dans la mémoire humaine.
           (Marguerite Yourcenar)

Bibliographie
Crombez, Jean-Charles (2003), La guérison en Écho, une traversée vers l’implicite, Beauport, Publications MNH, p. 25-74.

Loranger, Lorraine (2008) De l’ombre à la lumière : La guérison par un récit de vie émotionnel. (À l’intention des intervenants)

Message de Lorraine Loranger
Dans une société qui confond vitesse et résultats, ceux qui apprennent à ralentir vivent mieux le présent dans toute sa capacité. Ma pratique propose plusieurs ateliers pour la gestion de stress: apprivoiser le récit de vie, la communication non-verbale et prochainement la relaxation sensorielle avec 16 thèmes différents sont parmi les plus utiles. Des conférences sur la gestion de stress sont disponibles sur demande.

Commencez chaque journée comme étant une nouvelle journée, trouvez votre destinée, croyez en qui vous êtes et en qui vous voulez devenir.

Créez la vie que vous désirez. Commencez votre trajet avec une démarche puissante en possibilités...celle d’une nouvelle vie…la vie que vous voulez…retrouvez votre pouvoir  pour prendre en charge votre destinée. 

Merci de soutenir la mission éducative de Lorraine Loranger en transférant ce communiqué à vos contacts intéressés.